

Webinaire à consulter sur https://mediationsplurielles.org/category/conference
Conférence suivie d’une table ronde avec:
Date: Mercredi 31 mars 2021
Informations: https://mediations.ch/wp-content/uploads/2021/03/Flyer-Justice-restaurative.pdf
ID Zoom: 984 0218 4226
Première partie :
18 h 40 Accueil et connexion
19 H 00 Mot de bienvenue
Laure Veirier au nom du CNAM
Didier Morfoisse au nom de l’ANM
19 h 10 Projection du film (durée 1h10)
Deuxième partie :20 h 30 Table ronde – échanges avec le forum du webinaire
21 h 30 Conclusions – Perspectives
22 h 00 Fin de la soirée
Inscription sur https://mediationsplurielles.org/webinars/quelle-place-pour-la-justice-restaurative
« Est-il possible de mettre face à face une victime et son bourreau pour espérer un dialogue, sans juges, sans avocats et sans procureur ? Le concept de « justice restaurative » en est à ses balbutiements en Suisse. Dans le canton de Vaud, un projet pilote vient d’être mis en place, sous la houlette du Swiss RJ Forum. Linn Levy reçoit l’avocate Lorella Bertani et le vice-président de l’Association pour la justice restaurative en Suisse, Jean-Marc Knobel » (Extrait de rts.ch du 20/01/2021)
Vidéo à consulter sur https://www.rts.ch/play/tv/faut-pas-croire/video/bourreau-et-victime–quel-face-a-face-?urn=urn:rts:video:11980191
« L’association carcassonnaise pour la médiation et prévention met en place des cercles de parole pour faciliter la résolution des conflits, grâce aux regards croisés sur des problématiques communes.
« À partir du 26 février, nous allons proposer des cercles de parole liés aux conflits », explique Isabelle Falconetti. Elle est médiatrice au sein du centre traits d’union médiation et assistance de Carcassonne (CTUMA). Concrètement, il s’agit de réunir trois personnes qui rencontrent une problématique similaire selon une thématique donnée. « Ça peut être un litige avec son associé, un conflit de voisinage, ou un différend familial en matière successorale », détaille la médiatrice. » (Extrait de lindependant.fr du 11/01/2021)
La procédure proposée, tant en amont qu’en aval d’un procès, répond aux critères d’un système de justice moderne et d’une approche nouvelle en matière de réparation des préjudices causés par une infraction. Elle est un complément et ne remplace pas les poursuites ou le procès. Elle peut d’ailleurs débuter à n’importe quel moment, avant, pendant, après le procès voire au cours de l’exécution de la peine.
La mesure de justice restaurative consiste à proposer un échange pouvant aboutir ou non à une rencontre volontaire et encadrée entre la victime et l’auteur. L’objectif est de permettre la réparation du préjudice subi par la victime et à l’auteur de le responsabiliser et ainsi d’éviter la récidive.
Le « service de justice restaurative » est un espace de communication qui, selon les situations, peut permettre:
Ces mesures sont suivies et évaluées par le parquet.
Afin d’éviter toute confusion, il convient de distinguer les notions de justice restaurative et de médiation pénale. La médiation pénale constitue une voie alternative aux poursuites pénales, alors que la justice restaurative est une mesure complémentaire qui peut être mise en œuvre indépendamment de la gravité des faits (contraventions, délits ou crimes).
Le ministère de la Justice, en collaboration avec le « Competence Center » de l’Université du Luxembourg et l’association belge « Médiante ASBL », a lancé une formation-pilote permettant à dix candidats présélectionnés de devenir facilitateur en justice restaurative.
Les facilitateurs interviendront en tant que vacataires au sein du nouveau « Service de justice restaurative » hébergé par le Centre de médiation. Ce dernier offre un cadre confidentiel et neutre, propice à l’instauration d’un dialogue entre l’auteur et la victime de l’infraction. Le Centre est également chargé de la pratique professionnelle, des principes, méthodes et outils de justice restaurative à mettre en place dans le cadre du projet-pilote soumis à un comité composé de représentants du ministère de la Justice et des responsables du Centre de médiation.
Le rôle du facilitateur est de faciliter, de manière équitable et impartiale, la participation des parties au processus de réparation. Il accompagne les parties tout au long de la procédure restaurative et leur permet de discuter de manière directe ou indirecte des faits et de ses conséquences et de la manière dont ces conséquences sont vécues.
Communiqué par le ministère de la Justice
En savoir plus sur https://gouvernement.lu/fr/actualites/toutes_actualites/communiques/2020/12-decembre/02-tanson-convention-signature.html?s=03
« Tournée vers l’avenir, la justice restaurative contribue à responsabiliser l’auteur et à offrir à la victime et à son environnement social une reconnaissance des blessures et des souffrances, une réparation des répercussions et des préjudices résultant de l’infraction et le rétablissement de la paix sociale.
Un vrai pluralisme judiciaire est-il possible ? Différents modèles de justice peuvent-ils coexister ? Comment promouvoir, à côté d’une culture répressive, une culture restaurative ?
Pour répondre à ces questions, la journée d’étude du 22 mai 2019 à l’Université Lyon 2 a réuni des témoins et acteurs d’expériences de justice restaurative menées en France et en Europe. Ils ont nourri la réflexion et ouvert des perspectives pour contribuer au développement de la justice restaurative.
Janie Bugnion, médiatrice pénale et civile assermentée agréée par le Ministère public et le Tribunal des mineurs de Genève , médiatrice pour le parquet du tribunal judiciaire de Paris, administratrice de l’Association nationale des médiateurs (ANM), enseignante spécialiste de la justice restaurative, a coordonné l’organisation de cette journée d’étude et la publication des actes. (Extraits de medias-mediations.fr)
La journée d’étude du 22 mai 2019 et la publication de cet ouvrage ont reçu le soutien de la Faculté de droit Julie – Victoire Daubié de l’Université Lumière Lyon 2, de l’équipe d’accueil Droits, Contrats, Territoires et de l’Association nationale des médiateurs (ANM).
Ouvrage à commander sur https://www.medias-mediations.fr/nos-ouvrages/la-justice-restaurative/#cc-m-product-9695208386
Postuler avant le 12 décembre 2020
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Chaque jour, plus de 1 600 personnes travaillent au sein du réseau des YMCA du Québec pour offrir des services diversifiés qui entraînent des changements positifs chez les individus.
Via notre service de justice réparatrice « Equijustice » nous croyons que chaque personne a le potentiel de participer à réparer les torts causés et à rééquilibrer la relation entre les personnes concernées et la collectivité. Nous favorisons leur engagement à travers l’application des mesures prévues par la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA), par le Programme de mesures de rechange général (PMRG), et par l’application du Code de procédure pénale du Québec.
La justice réparatrice est un moyen par lequel les torts causés par une infraction, qu’ils touchent autant une personne victime que la collectivité, peuvent être réparés. Elle donne la possibilité à chaque personne de participer au processus de réparation dans un cadre ouvert et respectueux. C’est en favorisant une justice équitable que nous écoutons, accompagnons et soutiennent les parties concernées dans le processus de réparation.
Sous la supervision du coordonnateur d’Équijustice, la personne choisie sera responsable d’intervenir et d’accompagner les participants dans ce processus.
Le YMCA offre bien entendu une rémunération concurrentielle et d’excellents avantages sociaux, mais travailler au sein de nos équipes, c’est d’abord et avant tout la possibilité de :
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36400.00 à 42000.00 $ par année selon l’expérience
35.00 h – Temps plein
(Extrait de equijustice.ca )
En savoir plus sur https://equijustice.ca/fr/actualites/intervenant-en-justice-reparatrice-equijustice-montreal-ouest